
Là où le chemin de terre se termine, si situe un endroit pour camper, à flanc de falaise, entouré de magnifiques montagnes tombant dans la mer. Tout en bas, de petits bateaux de pêche multicolores lancent leurs filets et les pierres roulent sous le ressac des vagues dans un grondement sourd, incessant.
Devant nous, on peut imaginer Terre-Neuve, ses fjords et ses icebergs. On se sent loin, intouchable et c'est dans ces moments que je me sens le mieux. Je respire. Pourquoi? J'ai l'impression que tout ce qui me touche, me stresse, me hante, ne peut m'atteindre. Que le calme, l'immensité, le grondement et le moment présent.
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